AlissaM

Alissa Margulis

The Guardian“ describes Alissa Margulis’s playing as „exceptional“, Ivry Gitlis praises it as “a revelation”. Appreciated for her expressive and very emotional performances, Alissa Margulis regularly plays in important concert halls such as the Palais des Beaux Arts in Brussels, the Cologne Philharmony, the Vienna Musikverein, the Herkulessaal in Munich, the Izumi Hall in Osaka, the Tonhalle Düsseldorf, the St. Petersburg Philharmonic Hall, the Festspielhaus in Baden-Baden, the Tel-Aviv Art Center, Beethovenhalle Bonn, the Walton Arts Center Chicago, the Schönberg Hall in Los Angeles or the Vienna Konzerthaus.

Born in Germany into a family of Russian musicians, Alissa Margulis studied in Cologne with Zakhar Bron, in Brussels with Augustin Dumay and in Vienna with Pavel Vernikov. She made her first public appearance at the age of seven with the Budapest Soloists and has performed since then with numerous orchestras such as the Kremerata Baltica, the Belgian National Orchestra, the Düsseldorfer Symphoniker, Beethovenorchester Bonn, the English Chamber Orchestra, the Jerusalem Symphony Orchestra, the Prague Symphony Orchestra, the Johannesburg Symphony Orchestra, the Novosibirsk Philharmonic Orchestra, the SWR and the WDR Rundfunkorchester, the Oxford Orchestra, the Orchestre National de Lorraine and the Israel Chamber Orchestra. Her many prizes at international music competitions include those at the Wieniawski Competition in Poland, the Spohr Youth Competition, the Novosibirsk Violin Competition, Viotti Vercelli Competition in Italy, the Osaka Chamber Music Competition, the UNISA String Competition in Pretoria, the Vittorio Gui Competition in Florence, Alissa Margulis received the Award for Young Artists by the European Foundation for Culture

. Alissa Margulis is an enthusiastic chamber music player and collaborates with artists such as Martha Argerich, Yuri Bashmet, David Geringas, Ivry Gitlis, Gidon Kremer, Mischa Maisky, Lilya Zilberstein and Paul Badura-Skoda. She appeared further at the Davos Festival, the Wiener Festwochen, the Encuentro di Musica Santander, the Gstaad Festival Yehudi Menuhin, the Oleg Kagan Festival Kreuth, the Kronberg Festival, the Lockenhaus Festival, the Martha Argerich Presents: Odyssey in Ljubljana, the Progetto Martha Argerich Festival of Lugano, the Radio France Festival in Menton at Côte d’Azur, the Schleswig-Holstein Festival, the Tours Festival, the Maggio Musicale Fiorentino, the Herbstfestspiele Baden-Baden and the Verbier Festival. EMI Classics released several CDs of the „Martha Argerich and Friends” cycle with Alissa Margulis’s participation on which she can be heared performing chamber music works and sonatas by Schnittke, Messiaen, Shostakovich, Piazzolla among others. Alissa Margulis has been presented in numerous productions for international radio stations and is also featured on a TV broadcast of Arte devoted to the Chamber Music Connects the World project. She plays a Guadagnini Violin dated 1754, a private loan from Jonathan Moulds.


Timothy

Timothy Park

A native New Yorker, Korean-born cellist Timothy Park entered the Juilliard School at age eleven where he studied with Jerome Carrington and Fred Sherry. He continued at Yale University with Aldo Parisot, completing his studies in Germany at the Musikhochschule Lübeck and the Hanns Eisler Musikhochschule, Berlin with David Geringas.

He has participated in master classes with Boris Pergamenschikov, Yosif Feigelson, Steven Isserlis, Arto Noras, Janos Starker and the Tokyo String Quartet. Timothy Park has performed with orchestras including the Moscow Radio Symphony Orchestra, Berlin Symphony Orchestra and New York Chamber Orchestra and has appeared in recitals and throughout North America and Europe, performing chamber music with musicians such as Zakhar Bron, David Geringas and Radovan Vlatkovic. He is a member of the Erlenbusch Quartet and of the Staatskapelle Berlin. He performs on a 1740 Gennaro Gagliano cello made in Naples.

Hamburg et Berliner Philharmonie, Konzerthaus Berlin, Kultur und Kongressaal Graz, Minoritensaal Graz, Prinzregenten Theater München, Sala Mereilles Rio de Janeiro, Sala Sao Paulo, Schleswig-Holstein Musikfestival, Mecklenburg-Vorpommern Musikfestival, Beethovenfest Bonn, Mozarteum Sao Paulo et Sommerliche Musiktage Hitzacker. Marcus Hagemann joue sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume daté de 1853.


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Cédric Pescia

Cédric Pescia Né en 1976, de nationalité suisse et française, Cédric Pescia commence ses études musicales à l’âge de sept ans. Il étudie d’abord au Conservatoire de Lausanne dans la classe de Christian Favre (Premier Prix de Virtuosité avec les félicitations du jury en 1993), puis auprès de Dominique Merlet au Conservatoire de Genève (Premier Prix de Virtuosité avec distinction en 1997). Il achève ses études à l’Universität der Künste de Berlin dans la classe de Klaus Hellwig.

Parallèlement, il se perfectionne auprès de Pierre-Laurent Aimard, Daniel Barenboim, Irwin Gage, Ivan Klansky, Christian Zacharias, Ilan Gronich et du Quatuor Alban Berg. Il collabore en tant qu’accompagnateur à plusieurs cours d’interprétation de Lied donnés par Dietrich Fischer-Dieskau. De 2003 à 2006, il est invité à l’ «International Piano Academy, Lake Como», où il étudie avec Dimitri Bashkirov, Leon Fleisher, Andreas Staier, William G. Naboré et Fou T’song notamment. Cédric Pescia a remporté le Premier Prix (Gold Medalist) de la Gina Bachauer International Artists Piano Competition 2002 à Salt Lake City, USA. Cédric Pescia donne de nombreux concerts et récitals en Europe, aux Etats-Unis, en Amérique du Sud et en Afrique du Nord, il joue dans la Grande Salle de la Philharmonie de Berlin, au Konzerthaus de Berlin, à la Musikhalle de Hambourg, au Wigmore Hall de Londres, au Mozarteum de Salzburg, au Carnegie Hall de New York, à la Tonhalle de Zürich et est invité par de prestigieux festivals internationaux, entre autres : Printemps de Prague, Lucerne Festival, Menuhin Festival Gstaad, Schleswig-Holstein Musik Festival, Sommets Musicaux de Gstaad, Festival de Davos et Festival de Radio France et Montpellier. Il se produit en soliste avec l’Orchestre de Chambre de Lausanne, l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Utah Symphony, les Festival Strings de Lucerne, la Sinfonietta de Lausanne, le Sinfonie Orchester de Berlin, la Klassische Philharmonie de Bonn, l’Orchestre de la Svizzera Italiana, l’Orchestra Sinfonica di Milano Giuseppe Verdi et la Camerata de Lausanne.

A côté de ses activités de soliste, son amour de la musique de chambre l’amène à jouer régulièrement avec des partenaires renommés. Une collaboration de longue date lie Cédric Pescia à la violoniste Nurit Stark. Membre fondateur de la série lausannoise de concerts de musique de chambre Ensemble enScène ; il en est, depuis 2006, le directeur artistique. Il a également été membre du jury du Concours Clara Haskil 2005 et 2007. Il donne des master classes aux Etats-Unis et en Europe, entre autres dans le cadre de la prestigieuse Accademia Pianistica Internazionale «Incontri col Maestro» à Imola, Italie. En 2007, Cédric Pescia est honoré du Prix Musique de la Fondation Vaudoise pour la culture. Il est également lauréat de la Bourse de la Fondation Leenaards de Lausanne. Depuis 2002, il est soutenu par la Fondation Yehudi Menuhin Live Music Now, Berlin e.V. Le duo que Cédric Pescia forme avec la violoniste Nurit Stark est soutenu par la Fondation Forberg-Schneider. Pour Claves Records, il a enregistré les Variations Goldberg de J. S. Bach, les œuvres complètes pour piano solo (vol. 2) de R. Schumann, un CD de musique française consacré à Couperin, Messiaen et Debussy, avec Nurit Stark, violon, les Sonates pour violon et piano de F. Busoni et G. Enescu et les opus 109, 110 et 111 de Beethoven, cinq CDs qui ont recueilli les meilleures critiques.


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Bertrand Chamayou

Bertrand Chamayou commence à étudier le piano à huit ans. Peu de temps après, il entre au conservatoire de sa ville natale, d’où il sortira à l’âge de quinze ans pour rejoindre la classe de Jean-François Heisser au Conservatoire de Paris. Il donne alors ses premiers concerts, suit les conseils d’artistes tels que Murray Perahia, Leon Fleisher, Dimitri Bachkirov ou encore Aldo Ciccolini ; il remporte un deuxième prix au Concours international Krainev en Ukraine, un premier prix de piano au Conservatoire, et intègre le cycle de perfectionnement de cet établissement tout en se perfectionnant auprès de Maria Curcio à Londres.

En 2001, à la faveur de son quatrième prix au Concours international Marguerite-Long- Jacques-Thibaud, Bertrand Chamayou se met à donner de plus en plus fréquemment des concerts, soit en soliste, soit encore avec des chanteurs ou avec orchestre. Il s’est depuis produit de nombreuses fois en récital dans diverses salles prestigieuses (Pleyel, Théâtre Mogador, Gaveau, Théâtre du Capitole, Halle aux Grains de Toulouse, Corum de Montpellier, Gasteig de Munich, Conservatoire Tchaïkovski de Moscou etc.) ainsi que dans des festivals tels que La Roque d’Anthéron, la Folle Journée de Nantes, le Festival de Radio France et Montpellier Languedoc Roussillon, Piano aux Jacobins, Piano à Riom, Piano en Valois, les Flâneries Musicales de Reims, l’Orangerie de Sceaux, le Festival de Pâques de Deauville, le Printemps Musical de Saint Cosme.

Ses concerts le mènent aussi dans de nombreux pays (Allemagne, Belgique, Hongrie, Russie, Espagne, Portugal, Japon, Canada, etc.) Outre ses récitals, Bertrand Chamayou s’est produit en concerto avec divers orchestres français de grande renommée, tels que l’Orchestre philharmonique de Radio France ou l’Orchestre national du Capitole de Toulouse sous la direction, respectivement, de Lawrence Foster et Michel Plasson, et pratique assidûment la musique de chambre avec des partenaires comme Augustin Dumay, Renaud et Gautier Capuçon, le Quatuor Ysaÿe, le Quatuor Ébène, Xavier Phillips, Henri Demarquette. Il est invité par le festival Piano aux Jacobins, à Verbier, à l’Orangerie de Sceaux, etc. mais ne se contente pas d’illustrer le répertoire : on lui doit la création d’oeuvres nouvelles signées Philippe Hersant, Guillaume Connesson, etc. En 2006, il est lauréat des Victoires de la musique classique dans la catégorie «révélation soliste instrumental de l’année». Toujours en 2006, il enregistre les Douze études d’exécution transcendante de Franz Liszt (chez Sony) En 2007, il joue le Concerto pour piano n° 2 de Saint-Saëns, avec l’Orchestre français des jeunes, sous la direction de Jean-Claude Casadesus, à Paris, Dijon, Vichy et Aix-en- Provence. En 2008, il sort un nouveau disque des Romances sans paroles de Mendelssohn. En 2011, il obtient le titre de « soliste instrumental de l’année » aux Victoires de la musique classique.


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David Kadouch

Révélation de l’année «Soliste instrumental» aux Victoires de la Musique 2010 Né en décembre 1985, David Kadouch commence l’étude du piano au Conservatoire National de Région de la ville de Nice dans la classe d’Odile Poisson. Il entre à l’âge de 14 ans au CNSM de Paris où il est reçu à l’unanimité dans la classe de Jacques Rouvier. Après un 1er Prix Mention Très Bien obtenu en juin 2003, il rejoint la classe de Dimitri Bashkirov au Conservatoire Reina Sofia de Madrid où il poursuit actuellement sa formation.

Parallèlement à ses études, David Kadouch mène une carrière de soliste international : remarqué par le grand violoniste ltzhak Perlman à l’âge de 13 ans, il joue au Metropolitan Hall de New York, puis en 2000 et en 2004, se produit à Carnegie Hall sous la direction d’Itzhak Perlman. A 14 ans, il est invité à jouer dans la grande salle Bolchoï du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. En 2001, il obtient le 1er Prix du centenaire de Gaby Casadesus, le 1er prix du Concours LionsClub-France, en août 2005, le prix récompensant le meilleur pianiste dans l’Académie de Salzburg et en décembre 2005, il remporte le troisieme prix du Concours Beethoven à Bonn.

David Kadouch est également invité à participer à de nombreux festivals parmi lesquels: le festival de Lucerne sous la direction de Pierre Boulez, le Klavier-FestivalRhur, le Festival de Gstaad, le Festival International du Jeune Soliste, le Festival Tchaïkovski, le 9 Festival de Santander où il se produit en trio avec les prestigieux musiciens Zakhar Bron et Natalia Shakhovskaya… David joue en Russie, en Chine, aux Etats-Unis, au Japon. Par ailleurs, tout en étant dans la classe de Dimitri Bashkirov, il se perfectionne auprès de grands maîtres tels que Murray Perahia, Vitaly Margulis, Elisso Visaladze, Alexander Satz, Emanuel Krasovsly, Maurizio Pollini, Maria-Joao Pires, Itzhak Perlman et Daniel Barenboim. Il est sélectionné par Daniel Barenboim pour se produire au Symphony Center de Chicago en janvier 2005 pour l’enregistrement d’un DVD Barenboim on Beethoven qui sera commercialisé dans le courant de l’année 2006. Lors de cet enregistrement, Arte réalise un documentaire sur David Kadouch qui sera diffusé en 2007. Il a été l’invité de Gaëlle le Gallic lors de l’émission Dans la Cour des Grands en juin 2006 sur France Musique.


Marcus Hagemann

MARCUS HAGEMANN: violoncelle

Marcus Hagemann was born in Danaueschingen and studied with Lee Fiser and the Lasalle Quartet (Cincinnati), Ulrich Voss (Saarbrücken), as well as William Pleeth and Moray Welsh (London). He was on several occasions awarded first prize of the Concours National d’Allemagne and also won the Concorso Internationale di Caltanissetta (Italy). The city of Konstanz granted him the Kultuförderpreis Musik and the Bayreuther Festspiele awarded him the Richard Wagner scholarship. He also received the Deutsche Stiftung Musikleben.

He has collaborated with renowned musiciens such as Heinrich Schiff, Irvin Arditti, Siegfried Palm, Frans Helmerson and Wolfgang Boettcher. Marcus Hagemann has recorded many radio and television broadcasts as well as CDs with artists such as Eduard Brunner, Giora Feidman, Bernd Glemser, Bruno Giuranna, Oliver Kern, Etta Scollo Dimitri Ashkenazy, Muriel Cantoreggi, Finghin Collins and Bertrand Chamayou.

Founding member of the Quatuor Talis in 1995, five years later he created the TRIOSKOP. His tours have led him to renowned concert halls and festivals such as the Barbican Hall in London, the Cincinnati Music Hall, the Kölner Philharmonie, the Musikhalle Hamburg, the Berliner Philharmonie, the Konzerthaus Berlin, the Kultur und Kongressaal Graz, the Minoritensaal Graz, the Prinzregenten Theater München, the Sala Mereilles Rio de Janeiro, the Sala Sao Paulo, the Schleswig-Holstein Musikfestival, the Mecklenburg-Vorpommern Musikfestival and the Beethovenfest Bonn, the Kona-Kohala Music Festival Hawaii, the Mozarteum Sao Paulo and the Sommerliche Musiktage Hitzacker. Marcus Hagemann plays on a Jean-Baptiste Vuillaume cello from 1853.

www.marcushagemann.de


KentC

Kent Carter String Trio

« Une musique de chambre moderne avec des compositions et improvisations liées entre elles dans une expérience musicale excitante »... .. ..Le Kent Carter String Trio a été fondé en 1982. Ce trio a tourné en Europe, à Paris, Berlin, Amsterdam, Cologne, Weimar, Metz, Nancy, Leipzig, Dresden, Zürich, Geneve, Bukarest, Vienna, Prague, Poitiers…et s’est produit dans de nombreux festivals... .. ..À propos du Kent Carter String Trio :.. ..« Ce qui est le plus étonnant avec ce trio, c’est qu’il propose une musique qui semble n’appartenir à aucune école, même si on peut sentir qu’elle est issue d’une double tradition de musique afro-américaine et de la musique occidentale. Cependant, à l’écoute on n’a jamais l’impression de patchwork ou de mélange. Entre les parties écrites et les improvisations, et grâce aux personnalités contrastées des trois membres du groupe, Kent Carter réussit pleinement en proposant un son unique qui dessine des paysages très purs à nous transporter dans un univers différent. La douceur qui enveloppe les moments très puissant et dynamiques et la structure subtile offre une nouvelle direction affirmée dans la musique d’aujourd’hui ». .. Laurent Goddet, Jazz Hot Magazine. .. .. ..« Le Kent Carter String Trio nous a offert un de ces moments de grâce qui nous réconcilient avec toutes les musiques. Sans jamais concéder une seule note à la facilité, sans jamais s’écarter d’une exigence et d’une rigueur qui fait toute la valeur de leurs compositions respectives, mettant leur formidable virtuosité au service d’un discours jamais bavard, les membres du trio nous ont promenés dans un univers fait d’une profusion de sons d’une richesse incroyable, d’inventions mélodiques et harmoniques nourrit de références classiques, de références « jazzistiques » et de rythmes empruntés aux musiques traditionnelles. Dans un monde où la musique, dite savante semble se couper du public à force d’ésotérisme et d’intellectualisme un peu snob, où le Jazz semble s’essouffler à chercher sa voix et son public, il est réconfortant de voir que des musiciens peuvent avoir un langage personnel qui, à en juger par la réaction des auditeurs, répond à une soif de musique vivante, riche, jubilatoire et originale ». .. Jacques Bréjoux, La Charente Libre 2 août 2005.


IngvoC

Ingvo Clauder

Born in ueberlingen, germany in 1976, formed his musical language under an artisitic influence of waldorf education and a 10-year-study of classical piano performance with hans-udo kreuels at the vorarlberg conservatory, austria, where he also gained padagogical (igp) and concert-performance (konzertfach) qdiplomas in 1999 and 2003, respectively. in parallel with the study in austria, he took a bmus course with anthony green at trinity college of music london and graduated with first class honour in 2002. during this time, he took part in several competitions and was the winner of the gladys puttick memorial prize for extemporization and the mehroo and byram jeejeebhoy prize for achievement in piano playing. early 2008, after 4 years of study at the state university of music and performing arts stuttgart with ulrich suesse and marco stroppa, he also received a diploma of composition/computer music. due to his interests in various types of music, ingvo clauder is an active musician not only in classical music but also in jazz, and free improvisation. in 2003, together with lucas dietrich, he founded a contemporary music label and edition platform «fonorum».


PhilippeE

Philippe Ehinger

Vit à Genève où il est né en 1961. Il y accomplit sa scolarité jusqu’à l’obtention d’une maturité scientifique. Parallèlement, il étudie la clarinette au CMG puis au Conservatoire Supérieur de Musique de Genève avec Robert Gugolz, auprès duquel il passe un diplôme d’enseignement puis avec Thomas Friedli où il emporte le second prix de virtuosité. Il va ensuite se perfectionner au Royal College Music à Londres avec Colin Courtney et Colin Bradburry et obtient le « certificate of postgraduate studies « en clarinette. Il est aussi lauréat des bourses des fondations Marescotti et Kiefer-Hablitzel ainsi que du premier prix du concours de jazz et d’improvisation de l’association Onze Plus à Lausanne avec le groupe « Aujourd’hui Madame «. Quelques dates : 2010, interprète «Le Centre du Monde, prélude et fugue pour piano programmé» de Sébastien Grosset et le Club-des-Arts au FAR, Festival des Arts vivants à Nyon 2007, entreprend et suit encore actuellement une formation en musique d’ensemble sur instruments historiques avec Lorenzo Alpert, HEM, Genève 2006, compose et interprète la musique de « La Folie d’Herakles «, mise en scène par Bernard Meister à la Comédie de Genève 2004, entreprend une formation sur clarinette historique de deux ans auprès de Gilles Thomé, Paris 2001, compose et interprète en compagnie de Denis Schuler la musique d’Ajax, mise en scène par Guillaume Chenevière au théâtre de Carouge 1995, reçoit une commande du Festival de la Bâtie, Genève et crée avec Ulrich Fischer, vidéaste, un concert-performance à l’Alhambra 1994, compose et interprète la musique du spectacle «La sortie au théâtre/ cabaret Karl Valentin» mis en scène par Claude Vuillemin au Théâtre du Loup 1993, recherches musicales et improvisations avec Jacques Siron, contrebasse et Manon Hotte, danse, travail et prestations sous forme de performances dans différents lieux de la région genevoise avec plusieurs plasticiens 1986, engagé comme professeur de clarinette au Conservatoire de Musique de Genève 1984, obtient le prix de virtuosité de clarinette au Conservatoire supérieur de Musique de Genève, classe de Thomas Friedli Il partage son activité professionnelle entre l’enseignement de la clarinette au CMG, le jazz, les musiques improvisées, la musique au sein du théâtre, la musique de chambre dans plusieurs formations ainsi que le reggae, le rock – Abt 409, B. Trontin – et la variété, Sarah Marcuse, Sarcloret Il s’est régulièrement produit dans ces divers contextes tant sur scène que pour les studios d’enregistrements.


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Chloé Lévy

Chloé Lévy obtient un diplôme professionnel de chant à l’École de Jazz et Musiques Actuelles de Lausanne, puis étudie le chant lyrique et la musicologie à la Haute École de Musique et à l’Université de Genève où elle obtient un Bachelor dans les deux disciplines. Elle étudie la technique vocale et le répertoire classique avec la soprano Audrey Michael.

Elle se spécialise actuellement dans l’interprétation de la musique contemporaine avec Luisa Castellani dans le cadre d’un Master of Advanced Studies in interpretation of contemporary music à la Haute École de Musique de Lugano (2è année). Chloé Lévy continue par ailleurs à approfondir sa connaissance du répertoire classique notamment avec le pianiste Oliver Pohl.

Chloé Lévy a reçu la bourse Friedl Wald en 2004, elle est lauréate du concours de solistes Nescafé jazz en 2005. En 2010 elle est choisie par le service culturel du canton de Genève pour bénéficier de la bourse et résidence 2011 dans la ville de Berlin, où elle vit actuellement.

En 2007 le « Chloé Lévy Yannick Délez (piano) duo » enregistre son premier disque « Leinicha » au Rainbow studio d’Oslo. « Leinicha » est accueilli avec enthousiasme par la presse (Jazzman ****, Télérama ffff, Concerto*****). Le duo est invité à jouer dans les grands festivals de Suisse et de France. En 2009, le duo invite le violoncelliste allemand Marcus Hagemann et se transforme en trio.

Chloé Lévy a interprété Nel Giro avec Audrey Michael et l’orchestre philharmonique de la ville d’Oradea sous la direction de Leonardo Gasparini, œuvre pour deux sopranos et orchestre d’Antoine Duhamel.

En 2011 elle chante Le Marteau sans Maître de Pierre Boulez et les Cantus Planus de Niccolò Castiglioni sous la direction de William Blank. Elle chante des œuvres de Carissimi et Monteverdi sous la direction de Raphael Leite Osorio, et les Akhmatova songs de John Tavener en duo avec le violoncelliste Marcus Hagemann. Elle chante également le rôle de Hilda dans une version concert des Elegy for young lovers de H.-W Henze sous la direction d’Arturo Tamayo.

Chloé Lévy développe actuellement un projet autour d’Ariel, un cycle de mélodies de Ned Rorem sur des poèmes de Sylvia Plath, accompagné d’improvisations, en trio avec le pianiste allemand Ingvo Clauder et le clarinettiste suisse Philippe Ehinger, le projet sera enregistré au début de l’année 2012. A Berlin, elle a créé et développe avec la danseuse japonaise Kaori Ito, la pièce « deux cordes, une voix » pour soprano, danseuse et violoncelliste, sur des extraits de poèmes de Rainer Maria Rilke.

www.chloelevy.com


GuillaumeP

Guillaume Perret

Un saxophone. L’envie d’explorer un nouveau son. Guillaume Perret est un découvreur de sons. Il joue des pédales et des effets electrifiés pour amener ses notes vers un univers surprenant et inclassable, qui nous invite au rêve, distordant les sonorités pour les rendre étrangement musicales. Guillaume se produit, compose et enregistre dans de nombreux projets. Malgré ses brillants résultats (Médaille Conservatoire Classique et Jazz avec félicitations du jury) il est avant tout un autodidacte. Là réside sa force; dans sa capacité à creuser lui même ses sillons, sa curiosité, sa propre façon d’appréhender les choses, dans son univers. À 30 ans, il arbore aux saxophones une somptueuse palette de couleurs, qu’il exploite pour ses compositions comme pour celles des autres et se produit plus d’une centaine de fois par an sur différents continents. (New York, Toronto, Londres, Pologne, Allemagne, Suisse, Italie, Bosnie-Herzegovine, Tchéquie, France, Thailande, Argentine, Chili, Uruguay, Viet-Nâm, Sénégal, Côte d’Ivoire, Inde) En contexte écrit ou free, son jeu inventif lui a permis de se placer parmi les acteurs en mouvement de la scène, avec lesquels il arpente clubs et festivals internationaux. (Minino Garay, Yaya Ouattara, Ira Coleman, Laurent Vernerey, Rémi Vignolo, Claude Tchamitchan, Debie Prashadgosh, Gopal Prashad Dash, Abdel Aziz El Achaab, Ling Ling Yu, Glenn Ferris, Rita Marcotulli, James Taylor, Kirk Lightsey, Hadrien Feraud, Manu Codjia, Macolm Braff, Benjamin Henocq, Santi Di Briano, Sangoma Everett, François Lindemann, Brian Jackson, Moncef Genoud, Nguyên Lê, Flavio Boltro , Marcello Julliani, Benoit Sourisse ; Jérôme Regard, Mokthar Samba, Linley Marthe, Miles Okazaki, Damion Reid…)

Compositeur ou soliste invité, il se plaît à développer un langage singulier au travers d’expériences aux multiples facettes. Ses recherches extrêmement approfondies sur l’amplification et le traitement analogique du son de sax font de lui un instrumentiste à la couleur unique, le rôle de l’instrument étant décuplé par les possibilités sonores. Ainsi il passe de cocottes funkies à des riffs endiablés tel un guitariste, de nappes tel un synthétiseur inquiétant tout droit sortit d’un film de David Lynch à des lignes de basse très étranges, des sonorités de percussions africaines aux sons d’oiseaux, de gouttes d’eau, du doux bruissement du vent dans les arbres ou du souffle profond du monstre au fond de sa grotte. Il a récemment rassemblé d’excellents musiciens autour de son projet personnel: GUILLAUME PERRET & THE ELECTRIC EPIC : Philipe Bussonnet (basse MAGMA) Yoann Serra (batterie, sampler ONJ YVINEC) Jim Grandcamp (guitare LELANN/TOP) Mederic Colignon (cornet, voix) et Sir Alice (voix, textes) apparaissent sur l’album en tant que guests et de temps à temps sur scène avec le 4tet. Les compositions de Guillaume tendent à s’affranchir d’un style déjà défini. Le spectateur y palpite au grès d’hallucinations auditives qui déclenchent un puissant imaginaire, celui qui sommeille en chacun. Des compositions en constructions orgasmiques, riches d’histoires, de vie et de possibles. La qualité de son travail lui a également permis de décrocher une bourse du Ministère de la Culture afin de composer pour bigband + orchestre d’harmonie (Commande de l’État) ainsi que la bourse French-American exchange de la Chamber Music of America. Il créera donc un trio à New York en Juillet 2009 avec Miles Okazaki (guitare STEEVE COLEMAN & FIVE ELEMENTS) et Damion Reid (batterie RAVI COLTRANE, ROBERT GLASPER)

Au jour d’aujourd’hui ce trio est toujours actif. Guillaume est aussi régulièrement mandaté pour la création de musiques originales pour la danse et le théâtre. Il défend l’idée d’une musique décloisonnée, sans appartenance à un style déterminé à l’avance. Sa musique, positive, est le fruit du mélange de différentes cultures, différentes époques. Il cherche à inventer une musique pour tous, qui pousse à la curiosité, une musique ouverte qui trouve sa richesse dans la diversité des expressions profondes de chacun. Tout en affirmant une personnalité propre, Guillaume possède un vrai sens du collectif caractérisé par une talentueuse amplitude dans le façonnage de passerelles et d’interactions avec ses différents comparses.


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Pierre Audetat

Il étudie le piano dès l’âge de onze ans avec GERARD LECOAT qui lui enseignera également la composition et l’improvisation jusqu’à l’age de18 ans. Il poursuivra ses études à la SWISS JAZZ SCHOOL à Bern puis à l’EJMA. C’est à l’intérieur de URGENT FEEL, quartet fondé à la fin des années «1980» par le saxophoniste MORENO HELMY que PIERRE AUDETAT commence à utiliser les techniques d’échantionage (sampling). URGENT FEEL réalise deux albums ,POWER JAZZ/1991 et XL/1992 tout deux sur le label PLANISPHARE.Le groupe se produit sur scène entre autres au FESTIVAL DE WiILLISAU,au PALEO FESTIVAL DE NYON,au MONTREUX JAZZ FESTIVAL.

Nombreuses séances de studio comme pianiste,clavièriste,arrangeur,programmeur. Collabore notament avec ROLLERCONE,MANDRAX,SENS UNIK,BENJAMIN. En 1991,il rencontre les rappeurs MC NYA, NDAGIJE et DJ GOO .Ensemble ils fondent SILENT MAJORITY groupe qui fusionne instrumental, sampler et rap avec une section rythmique composée de MARCELLO GIULIANI à la bass et CHRISTOPHE CALPINI à la batterie, et comme invité régulier le trompetiste ERIK TRUFFAZ.Le groupe réalisera trois albums LA MAJORITE SILENCIEUSE 1994, CURFEW 1995 paru sur UNIK RECORDS et NIGHT BLOOMERS paru sur TBA RECORDS. SILENT MAJORITY se produira en concert notament au BATACLAN,à ELISEE MONTMARTRE à Paris,PRINTEMPS DE BOURGES,TRANSMUSICALES DE RENNES,au NEW MUSIC SEMINAR à New York,JAZZ CAFE CLUB à Londre,MONTREUX JAZZ FESTIVAL etc. PIERRE AUDETAT collabore comme pianiste et comme compositeur dé 1994 dans PIANO SEVEN. Il aura ainsi l’occasion de travailler avec FRANCOIS LINDEMANN, OLLIVIER ROGG, MICHEL BASTET, GASPAR GLAUS, PIERRE-LUC VALLET ainsi que BRIGITTE MEYER, PASCAL AUBERSON, FRANCOIS GUYE, JACQUES BOLOGNESI, TRILOK GURTU. De nombreux concerts notament à L’OPERA DU CAIRE,à L’OPERA DE ZURICH,au CIRQUE D’HIVERS à Paris.

C’est vers 1995 que PIERRE AUDETAT débute son projet solo sous le pseudonyme STADE. Il apparait sur divers compilations dont FIVE STARS 1 et 2,GALACTIK SOUND LAB 1, FREE ZONE 4 (Belgique), SHADOW RECORDS(New York), HIFI JAZZ (Londre). Il joue durant l’année 1997 régulierement au sein du collectif GALACTIK SOUND LAB au BLUE NOTE CLUB à Londre dans divers formules notament avec ROLLERCONE, MGM TRIO alias MARCELLO GIULIANI, ERIK TRUFFAZ, DJ GOO, MC NYA, MARC ERBETTA. En 1998 il débute une nouvelle collaboration avec le vidéaste PIERRE YVES BORGEAUD (réalisateur de films musicaux documentaires et de plusieurs clips pour le label ECM).Il en résulte un spéctacles audiovisuels intitulé: MY BODY ELECTRIC rejoint par le trompetiste norvégien NIELS-PETTER MOLVAER. Ils se sont produits au CULLY JAZZ FESTIVAL. C’est en avril 2000 que STADE alias PIERRE AUDETAT sort un premier ep, MISCELANEOUS sur le label SYNCHROVISION , ainsi que sur la compilation SYNCHROFILES 1.0. Janv 2001. Il se produit sur scène dans plusieurs formules; solo,trio,et quintet avec ALBERTO MALO/drums, PATRICE MORET/Bass, CHRISTOPHE TURCHI/sax, CYRIL REGAMEY/perc. Début 2001 PIERRE AUDETAT remixe un morceaux pour le trompetiste ERIK TRUFFAZ, sur L’album «REVISITE» parut chez BLUE NOTE. En juillet 2001 il enregistre en


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Jean-Frédéric Neuburger

Né en décembre 1986, il commence l’étude du piano en 1994 ; 1er prix au CNSM de Paris en 2003. Entre 2001 (Prix de l’Académie Maurice Ravel) et 2006 (1er Prix aux Young Concert Artists International Auditions de New York), il a remporté de nombreuses récompenses internationales, y compris quatre prix au Concours Long-Thibaud 2004. Il est l’invité de prestigieux lieux de concert : Festivals d’Auvers sur Oise, de Radio-France/ Montpellier, La Roque d’Anthéron, Chopin à Bagatelle, Piano aux Jacobins, Folles journées de Nantes, Lisbonne et Tokyo, Festival Chopin de Duznicki, Auditorium du Musée du Louvre, du Musée d’Orsay, Bouffes du Nord, Kennedy Center de Washington, Carnegie Hall de New York (Dec 2006).

En 2007, 1er grand récital à Tokyo (Suntory Hall). Il s’est produit en soliste avec de grands orchestres : Philharmonique de Radio France, London Philharmonic, Philharmonique de Shanghai, Orchestre National de Montpellier. En novembre 2006, 3ème concerto de Beethoven à Tokyo avec le New York Philharmonic et Lorin Maazel. En mai 2007, tournée avec l’Orchestre National d’Ile de France (Salle Pleyel le 5 mai) et en novembre, concerts en France et tournée au Japon avec l’Orchestre National de Lyon. En 2008, sera l’invité de l’Orchestre Philharmonique de Liège (Messiaen) et du London Philharmonic Orchestra (Brahms).

Maturité musicale exceptionnelle, clarté du jeu et palette expressive remarquables. JF possède de plus, à tout juste 20 ans, un répertoire déjà considérable. Il a publié deux albums Chopin pour le label DiscAuvers et un double album consacré à l’Art de délier les doigts de Czerny pour le label Mirare. Son prochain enregistrement sera consacré à des oeuvres pour piano seul de Brahms.


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Audrey Vigoureux

Née en 1981, à Aix-en-Provence, Audrey Vigoureux commence le piano à l’âge de 8 ans, au conservatoire de sa ville natale, et en sortira avec une médaille d’or, à 15 ans. Elle se perfectionne ensuite au CNR de Nice auprès de Odile Poisson, qui la prépare aux concours d’entrée au Conservatoire Supérieur de Genève et au CNSM de Paris. Reçue à l’unanimité dans les deux institutions, Audrey poursuit parallèlement ses études à Genève et à Paris, dans les classes de Sébastien Risler et de Jacques Rouvier. Au CNSM, elle étudie aussi la musique de chambre avec Christian Ivaldi, Jean Mouillère et Itamar Golan. Elle termine ses études à Paris avec un premier prix de piano mention très bien, un premier prix de musique de chambre, le diplôme de formation supérieur, et obtient à Genève, un diplôme de soliste avec distinction, le prix Adolph Neumann de la ville de Genève, le prix Dumont et le prix Filipinetti. Lauréate de nombreux concours, elle reçoit le prix de la fondation De Agostini, le premier prix Yamaha Europa, le prix de la fondation Kiefer- Hablitzel, et est lauréate de la Ernst Goehner Stiftung, pour-cent culturel Migros.

Elle enrichit son jeu en recevant les conseils de grands maîtres tels que Andreas Schiff, Charles Rosen, Bella Davidovitch, Joseph Kalinschtein, Dominique Merlet, Jean-Claude Pennetier… Depuis son plus jeune âge, Audrey est invitée à se produire en récital ou en soliste avec orchestre en Europe, en Asie et en Amérique, notamment au Menuhin Festival de Gstaad, au festival international «Les nuits pianistiques», au festival Archipel, au festival des jeunes solistes , au festival «Rainbow across Europe» en Angleterre, au Verbier Festival et Academy, à la cité de la musique de Paris, au BFM et au Victoria Hall de Genève, à l’Abbaye de Royaument, à l’Auditorium Stravinsky de Montreux, au Grand Théâtre National de Pékin, à l’oriental art center de Shanghai, au M theater de Bangkok, au festival international de Merida, Vénézuela etc. Elle joue avec l’Orchestre de la Suisse Romande sous la direction de Pinchas Steinberg, l’orchestre de Cannes sous la direction de Philippe Bender, l’orchestre d’Avignon sous la direction de Valentin Doni, l’orchestre des jeunes de «El Sistema» au Vénézuela sous la direction de Domingo Hindoyan et Alvaro Larez, et des artistes tels que David Fray, Jacques Rouvier, Timothy Park, Simon Gollo, Domingo Hindoyan, Alissa Margulis, David Kadouch, Audrey Michael, Adam Mital et Charlotte Maclet, le Quatuor Terpsycordes, Emmanuel Christien… Audrey collabore aussi avec des compositeurs contemporains.


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Daniel Ciampolini

Né à Nice de parents musiciens dans de célèbres cabarets, qui l’initient dès le plus jeune âge à la batterie, au contact de grandes personnalités de la chanson française tels Mouloudji, Isabelle Aubret ou Patachou, Daniel commence à 9 ans des études de percussions au Conservatoire de sa ville. A l’âge de 14 ans, il rentre comme batteur au sein de l’Orchestre d’Accordéons de Paris et à 15 ans dans la classe de percussions de Jacques Delécluse au Conservatoire national Supérieur de Musique de Paris où il obtient un Premier Prix. Toujours très attaché à sa double culture, il poursuit au CNSM de Paris des études d’harmonie et d’analyse musicale tout en jouant la batterie avec son père pianiste dans le cabaret parisien de « La Villa d’Este ». Un long séjour au « Berklee College of Music » à Boston (USA) consacré au perfectionnement de son jeu au vibraphone, viendra compléter sa formation.

A l’age de 19 ans, sa carrière prend un tournant décisif quand il est brillamment reçu soliste à l’Ensemble Intercontemporain. Travaillant dès lors avec Pierre Boulez au sein de cette prestigieuse formation, il côtoie tous les grands compositeurs de la planète et participe à la vie de la musique contemporaine. Il crée notamment « Sur Incises » et « Répons » de Pierre Boulez, enregistrés chez Deutsch Grammophon. Il participe à l’enregistrement du CD de Franck Zappa dirigé par Pierre Boulez. Avec l’accord du compositeur Iannis Xénakis, il crée en 1997 dans les studios de l’IRCAM et à la Cité de la Musique, une version électronique élaborée par lui-même, de « Psappha », version unique et inédite qu’il joue depuis régulièrement ( New York, Madrid, Taîpée, Helsinki, Caracas, Montréal etc…) Le compositeur Philippe Hurel lui dédie « 4 variations pour vibraphone et ensemble » que Daniel crée en 2000 avec l’Ensemble Intercontemporain. De solides amitiés musicales se nouent, notamment avec le pianiste Pierre-Laurent Aimard, avec lequel il interprètera à de nombreuses reprises la sonate pour 2 pianos et 2 percussions de Bélà Bartok, ainsi que des improvisations sur les études pour piano de György Ligeti. Programme donné de nombreuses fois et notamment au Carnegie Hall de New York et au Symphonie Hall de Chicago.

En 1994, l’Auditorium du Louvre lui commande la musique du film « Forfaiture » de Cecil B de Mille dans le cadre de « Cinéma muet en concert ». Il quitte en 2001 l’Ensemble Intercontemporain pour ce consacrer plus encore au répertoire soliste et aussi à l’ecriture. Il réalise la musique de plusieurs expositions (« La Chine » et « Objets de lumière » au Brésil, « Napoléon en campagne » à l’Arc de Triomphe de Paris) et de films documentaires ( « Les règles du jeu » »Togo » »Destination Antarctique » ) Il compose une pièce pour vibraphone et harpe intitulée «Théâtre d’Eaux », créée à Amsterdam en 2001 et reprise sur les ondes de France Musique et France Culture. Il collabore avec le rappeur Kery James, dont il cosigne 3 titres pour un de ses albums. Fonde un groupe de Chanson Française en 2006 avec la pianiste Claude Collet, nommé EdenMix En juin 2006, le public de l’IRCAM a pu découvrir une de ses compositions pour un tout nouvel instrument à percussions appelé « Hang » On le retrouve en studio ou sur scène, accompagnant à la batterie ou aux percussions de grandes personnalités de la variété tels Nicole Croisille, Charles Aznavour, Julien Clerc… ou du jazz, Antoine Hervé, Michel Portal, Christian Escoudé, Michel Legrand. Il retrouve aussi les scènes internationales en tant que percussionniste soliste et chambriste, Carnegie Hall de New York en compagnie de l’altiste Christophe Desjardins, Philharmonie de Cologne avec l’altiste Tabea Zimmermann, Les Folles Journées de Nantes avec les pianistes Claire Désert et Emmanuel Strosser. Il est l’invité de plusieurs émissions de radio, dont une série d’ « Ateliers du Musicien » de Jean-Pierre Derrien sur France Musique où il présente et joue le répertoire très éclectique de la percussion. En 2009 il est invité par l’Orchestre Philharmonique de Radio France pour jouer « Aïs » de Xénakis. Il retrouvera ce même orchestre en juin 2011 pour une nouvelle création aux percussions solo, du compositeur Ivan Fedele. Récemment on a pu l’entendre en Duo avec Michel Portal au Théâtre des Champs Elysées.

Enfin, Daniel Ciampolini transmet son art aux jeunes générations, lors de séries de cours dans de nombreuses Académies du XXème siècle : Paris, Helsinki, New-York. Université McGill de Montréal.


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Emmanuel Curt
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La percussion est une détonation, une révolution sonore, et les percussionnistes, des aventuriers. La preuve avec Emmanuel Curt, Premier Prix de percussions et de musique de chambre au CNSMD de Paris en 1996, successivement membre de l’Orchestre des Concerts Lamoureux et de l’Ensemble Orchestral de Paris, puis super soliste de l’Orchestre National de France. Mais il ne se contente pas de cette voie royale. Pour son 1er album soliste il a formé le Latitudes Symphony Orchestra, composé des meilleurs instrumentistes solistes des grands orchestres parisiens. Mais son contentement, justement, c’est aussi de goûter aux fanfares, bandas et aux musiques de rue, au sein du marching band Los Amarillos. Sans oublier les facéties de Z Quartett et les audaces de Carpe Diem. Un percussionniste classique mais pas trop…


 

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Simon Gollo


 

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Miguel da Silva

Miguel da Silva débute très jeune ses études au Conservatoire National de Région de Reims, sa ville natale. Puis il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il est l’élève de Serge Collot et de Maurice Crut. Il y obtient le Premier Prix de musique de chambre et celui d’alto, ce dernier à l’unanimité avec vote spécial du jury. En 1985, il remporte le Premier Grand Prix au Concours international de musique de chambre de Paris en formation de sonate ;il intègre l’orchestre de l’Opéra de Paris. Depuis son adolescence, Miguel da Silva est passionné par le quatuor à cordes. Il quitte l’Opéra de Paris en 1987 et fonde avec trois de ses amis le quatuor Ysaÿe. Il part à Cologne travailler avec le Quatuor Amadeus, il suit les conseils de Walter Levin (Quatuor Lasalle) à Bâle, ceux de Piero Farulli (Quartetto Italiano) à Fiesole et de Hatto Beyerle (Quatuor Alban Berg) à Hanovre.

De nombreux concours internationaux (Portsmouth, Evian) pour lesquels le quatuor remporte les Premiers Prix, ont ouvert à cette formation la voie d’ une carrière internationale tant au Japon qu’aux Etats-Unis (Carnegie Hall, Metropolitan Museum à New York),de même qu’ en Israël et en Europe (Théâtre des Champs-Elysées à Paris, Wigmore Hall à Londres, à Berlin , et lors des festivals de Lockenhaus,de Stresa, et de Salzbourg ...). Miguel da Silva se produit aussi dans d’autres formations. Ses partenaires ne sont autres que Michel Portal, Jean-Claude Pennetier, Alain Planès, Raphaël Oleg, Paul Meyer, Leonidas Kavakos, Pierre Amoyal, Antonio Meneses, Augustin Dumay, Truls Mork, Gary Hoffmann, Pascal Rogé, Emmanuel Pahud, Jean-François Heisser, Irena Grafenauer... Miguel da Silva, en outre, a été le soliste invité de l’orchestre de Chambre de Pologne, de celui d’Auvergne, de l’orchestre Franz Liszt de Budapest, du Sinfonia Varsovia, de l’orchestre de Montpellier, de l’orchestre de Pamplona, sous la baguette de chefs d’orchestre tels que Peter Csaba, Jean-Jacques Kantorow, Arie van Beck ou François Xavier Roth. Par ailleurs, l’impératif pédagogique s’impose à lui comme une évidence.

En 1993, au Conservatoire National de Région de Paris (désormais Conservatoire à Rayonnement Régional), Miguel da Silva entraîne ses amis du Quatuor Ysaÿe dans la création d’une classe spécifique de quatuor à cordes : c’est une première en France. Leurs élèves français (Psophos, Ébène, Modigliani, Voce) mais aussi étrangers (Aviv d’Israël, Incanto de Suisse, Différence de Lettonie) ont aujourd’hui remporté la plupart des concours internationaux de quatuors à cordes . Parallèlement, Miguel da Silva anime des classes de perfectionnement dans les Académies de Villecroze à Nice, à Aldeburgh, à l’Académie Maurice Ravel de Saint Jean de Luz et à l’Université de South California à Los Angeles. Il est le directeur artistique d’une académie de musique de chambre qui se déroule chaque été en Haute-Savoie : «Musique à Flaine» et conseiller artistique de l’Académie musicale de Villecroze. Depuis septembre 2009 - après avoir enseigné deux saisons durant l’alto et la musique de chambre à la Hochschule de Lübeck - il a été nommé professeur d’alto à la Haute École de Musique de Genève et enseigne régulièrement au sein de l’ECMA (European Chamber Music Association). Miguel da Silva joue un instrument crémonais de Lorenzo Storioni, fait en 1790.


Rachel Schmidt

Girolamo Bottiglieri

D’origine italienne, Girolamo Bottiglieri sort diplômé à dix-huit ans du Conservatoire de Santa Cecilia à Rome (classe de Giovanni Leone). Depuis 1992 il est élève de Corrado Romano au Conservatoire Supérieur de Musique de Genève, où il remporte en 1997 le Premier Prix de Virtuosité. Lauréat de plusieurs concours internationaux, il s’est produit en soliste avec, entre autres, l’Orchestre de la Suisse Romande. Il est fondateur et premier violon du Quatuor Terpsycordes, qui, en 2001, obtient le Premier Prix de Virtuosité au Conservatoire de Musique de Genève (classe de Gabór Takács-Nagy) et gagne le Premier Prix lors du 56e Concours de Genève. Depuis, le Quatuor Terpsycordes mène une carrière internationale (tournées, enregistrements discographiques).

Girolamo Bottiglieri consacre une partie importante de son activité à la recherche philologique et à l’exécution des répertoires baroque, classique et romantique sur instruments historiques ; il est fondateur et premier violon de l’ensemble baroque La Nouvelle Ménestrandie. Au sein des différents ensembles avec lesquels il collabore (La Cappella Mediterranea, Gli Angeli Genève, Clematis) il a enregistré avec les labels Sony Vivarte, Ambronay Editions et Ricercar des disques récompensés avec d’importantes distinctions (Prix de l'Académie du disque lyrique, ffff de Télérama, Choc de Classica, nomination aux Midem Classical Awards, Gramophone Editor’s Choice). Girolamo Bottiglieri joue un Nicolas Lupot (Paris, 1813), propriété de M. Gilles Stickel.


Rachel Schmidt

Benoît Willmann

Benoît Willmann étudie la direction d’orchestre dès 1999, parallèlement à son activité d’instrumentiste (clarinettiste à l’Orchestre de la Suisse Romande), et obtient, en 2003, son diplôme au Conservatoire supérieur de Genève. En 2001, il se voit confier la direction artistique de l’ensemble Sinfonietta de Genève, avec lequel il développe jusqu’à aujourd’hui un grand nombre d’activités à travers une quinzaine de concerts par an et des tournées (Italie et France). En 2003, puis 2005, il prépare pour Stephan Asbury les orchestres réunis des conservatoires de Genève, Zurich et Winterthur pour Le Sacre du printemps d’Igor Stravinski, vers une symphonie fleuve IV de Wolfgang Rihm et la Turangalîla-Symphonie d’Olivier Messiaen. Concert pour la ville de Genève avec l’Ensemble Contrechamps en 2004. En 2005, début dans le répertoire lyrique, avec l’Orchestre du Rhône pour l’opéra de Rossini L’Inganno Felice.

En septembre de la même année, il dirige la création du spectacle du Quintette du Rhône, Gaillouf, à l’Usine de Fully. Benoît Willmann collabore régulièrement avec le Conservatoire supérieur et Académie de musique Tibor-Varga et l’Orchestre du Conservatoire supérieur de musique de Genève qu’il dirige depuis 2004 pour les travaux d’orchestrations (classe de Nicolas Bacri), de compositions (classe de Michael Jarrel) et pour l’accompagnement des diplômes de solistes. Dans le cadre des cérémonies à la mémoire du chef d’orchestre Armin Jordan, en 2007 et 2008 au Grand Théâtre de Genève, il est demandé par ses collègues de l’OSR pour diriger Siegfried Idyll de Wagner, les Métamorphoses de Richard Strauss et l’Octuor de Stravinski.

En 2008, il crée la Camerata Armin Jordan, ensemble composé essentiellement de membres de l’OSR, dont il assure la direction musicale. En décembre 2008, début avec l’Orchestre symphonique de Bienne. En mai 2009, il inaugure l’année de la France au Brésil avec l’Orquestra sinfônica da Bahia. Pour 2009-2010, projets de concerts avec le comédien Alain Carré, concerts au Brésil et en République Tchèque.




Jean-Luc Bourgeois,

Licencié en philosophie de l'Université de Genève Diplômé en théologie systématique à l'Université de Lausanne (travaux sur le théologien suisse Karl Barth) Chercheur au Fonds national (Michel Serres, directeur de la recherche), puis chercheur indépendant. Enseignant en sciences humaines (philosophie, langues allemande et française) Musicien praticien (orgue et gongs). Scénariste et littérateur (récits et journaux) A travaillé sur Bach, sur un plan musicologique et esthétique (manuscrit sur La fugue chez Bach), l'a pratiqué à l'orgue, puis à destination du cinéma, comme co-auteur du film Meine Name ist Bach, de Dominique de Rivaz. Prépare une version à plusieurs claviers de L'art de la fugue, en lien avec une approche scénographique de L'Apocalypse de Jean. Collaboration théologique avec les éditeurs romands de C.-F. Ramuz dans "la Pléïade". A consacré son mémoire de licence en philosophie à Nietzsche, puis une partie de sa thèse (interrompue) à Leibniz et à Nietzsche. De ces travaux préparatoires découle un manuscrit voué à une chronologie détaillée de la vie de Nietzsche, décrivant son existence au jour le jour et l'éclosion de son oeuvre (travail toujours en cours). Collabore avec le réalisateur TV Bertrand Theubet à l'élaboration de deux films documentaires, l’un consacré à Curt Paul Janz et l’oeuvre musicale de Nietzsche, le second consacré au travail de restitution et d'édition en cours à Weimar et à Bâle autour des carnets et cahiers formant l'héritage littéraire du «dernier Nietzsche», en lien avec la période biographique concernée par ce travail collectif de longue haleine.


Rachel Schmidt

Valentin Peiry

Né en 1972, Valentin Peiry étudie la musique au Conservatoire de Lausanne, où il obtient un premier prix de virtuosité de piano dans la classe de Christian Favre, avec les félicitations du jury, et un diplôme de théorie musicale. Par la suite il s’initie à la composition électro-acoustique, à la synthèse sonore, et aux techniques informatiques auprès de Rainer Boesch et Nicolas Sordet, à Genève et, en 2003, représente la Suisse au concert CIME du festival « Synthèse » de Bourges (électro-acoustique). Depuis 1999, Valentin Peiry est un des pianistes-compositeurs de l’ensemble « Piano Seven » - fondé par François Lindemann - avec lequel il enregistre quatre albums et se produit dans nombre de grandes salles (Genève, Montreux, Paris, Hong Kong, Singapour, Shanghai, Pékin, Taipe, Sao Paulo, Beyrouth, etc.) En 2004, il fonde avec le percussionniste Cyril Regamey et le pianiste Jakub Groos, le trio « Triolisme », avec lequel il explore les liens entre écriture musicale et geste improvisé ; entre son concret et abstraction du discours musical; entre articulations de la voix parlée et phrasé intrumental…

Cette recherche trouve son aboutissement dans une vaste composition pour bande et trois improvisateurs « Tour » (Concerts en Suisse et en Asie). Dès 2005, Valentin Peiry se produit régulièrement dans des concerts de musique improvisée, en particulier avec le quintette électroacoustique « Inentropia ». Actuellement, ses activités sont réparties entre la composition et diverses collaborations dans les milieux de la musique contemporaine, du théâtre, et des arts visuels. Parmi les dernières en date : « Vocus », composition pour deux voix et synthèse sonore; une orchestration électronique de l’opéra de Cavalli « la Calisto », spectacle créé au théâtre du Loup, à Genève; une installation sonore avec les plasticiens Jean-Luc Manz et Vincent Kohler, pour le festival genevois des « arbres et lumières »; l’interprétation en concert de la musique du compositeur Brett Dean, avec le Scharoun Ensemble de Berlin...


Rachel Schmidt

Stephane Gontiès

Après des études aux conservatoires supérieurs de Paris et de Lyon, Stéphane Gontiès se perfectionne avec Tabea Zimmermann, Wolfram Christ et Diemut Poppen, puis est l’invité de nombreux festivals de musique de chambre tels que Villecroze avec Tabea Zimmermann ou encore Lockenhaus avec Gidon Kremer. Après avoir joué avec l’Orchestre National de Lyon et l’Orchestre de l’Opéra de Vienne, il obtient un poste à l’Orchestre de la Suisse Romande (Marek Janowski) puis à l’Orchestre du Gewandhaus à Leipzig (Riccardo Chailly). Stéphane Gontiès est actuellement altiste titulaire à l’Orchestre de la Suisse Romande et membre de l’Orchestre du festival de Lucerne (Claudio Abbado).